À propos du traitement anti-rechute de l'ulcère peptique

Sous traitement anti-rechute ulcère peptique il n'est pas compris le traitement direct de l'ulcère peptique, mais la mise en œuvre de l'ensemble des mesures thérapeutiques et préventives visant à prévenir l'apparition éventuelle d'une rechute de la maladie. Si le patient présente des symptômes d'ulcère peptique (douleurs caractéristiques et troubles sécrétoires moteurs, dyspepsie, formation d'un défaut de la membrane muqueuse de l'estomac et du duodénum), il est prescrit non pas un traitement anti-rechute, mais un traitement anti-ulcéreux spécifique à l'hôpital.

La question controversée reste-quand est-il préférable de procéder à un traitement anti-rechute: dans la période «menacée» (printemps et automne) ou dans la période précédant une éventuelle rechute?


Récemment, on pense que le traitement anti-rechute des patients devrait être effectué à la fois dans la période interstitielle et dans la période de rechute la plus probable. Le fait est que, guidé uniquement par la saisonnalité de la maladie, vous pouvez être en retard avec le traitement anti-rechute, car le début de la maladie n'est parfois pas un mois sur un mois.  Si les mesures anti-rechutes ne sont effectuées que dans la période inter-traumatique, elles peuvent ne pas être assez efficaces pour prévenir une éventuelle récidive de la maladie dans la période «menacée».
Ainsi, les patients reçoivent un traitement anti-rechute à long terme (au moins 5 ans après la Dernière exacerbation). Cela est particulièrement vrai pour les patients qui ont tendance à des exacerbations annuelles. Et le volume des activités anti-rechutes menées dans la période interstitielle et dans le "menacé" (printemps, automne) - est différent.

Dans la période de récurrence possible de la maladie, il est recommandé:

1.Réduire au minimum les traumatismes neuropsychiatriques et physiques au travail et dans la famille; exemption du travail de nuit et des voyages d'affaires.

2.Le strict respect du régime semi-sédentaire ou le séjour du patient dans des dispensaires spécialisés de nuit assurant la paix mentale et physique pendant le temps libre du travail.

3.Strict respect du régime ?1 selon pevzner. Écarts possibles en tenant compte de la tolérance des produits, de la présence de comorbidités (pancréatite, cholécystite, entérocolite) et le degré de gravité de la maladie sous-jacente, c'est-à-dire l'ulcère peptique.